Beauté

'Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre
Et mon sein, où chacun s'est meurtri tour à tour,
Est fait pour inspirer au poète un amour
Eternel et muet ainsi que la matière.'

(Charles Baudelaire)

jeudi 8 avril 2010

Grâce à Anaïs, Cynthia et à cause de Derey

Rien de tel que le petit billet d'Anaïs Valente avec un lien direct vers le blog de Cynthia et ses contes défaits pour faire tourner mon sang à plus de mille battements. Colère ? Non! Rage ? Non ! Envie de hurler ? Oui !


Donc entrons dans le vif du sujet: un écrivain (pour ne pas le nommer J.C. Derey) se voit piquer au vif par l'avis d'une blogueuse sur son bouquin. Aïe, ça coince déjà. Un écrivain digne de ce nom se doit d'accepter tous les avis sur ce qu'il écrit. Ne pas les partager reste son droit. Voilà déjà une erreur dont l'ampleur n'a pas de mesure. Mais l'affaire se corse quand il s'auto-corrige dans un autre courriel. Ah oui, j'avais oublié de signaler que le Monsieur à la plume n'a pas eu la décence de laisser un message publique (pas si con finalement le Derey mais c'était sans compter sur notre Cynthia). Donc il réitère un message en s'enfonçant encore un peu plus dans son infantile réaction de petit garçon bourgeois qu'on a mécontenté. 


Ce n'est évidemment pas le seul à se raidir face aux avis négatifs: regardez 'on n'est pas couché'. Ils ne sourient que lorsque les deux Eric sortent l'encens. Sinon, c'est la bataille verbale jusqu'aux insulte ou pour les meilleurs l'indifférence, la sourde oreille.


Morale: si vous n'aimez  pas un livre, taisez-vous ! Votre opinion peut influencer les autres. Cas de lèse-majesté. 


That's all folk for today.

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