Illustration: Arwen Gernak
L'église parle de l'enfer comme d'un lieu brûlant, douloureux mais qu'on est amené à ne rencontrer qu'après la mort.
C'est quoi cette connerie ? L'enfer, c'est ici et en celui qui le choisit. C'est aussi celui de Sartre, celui qu'on subit tous les jours et que par laxisme on ne tue pas.
Et il y a l'enfer selon Moi: un endroit froid, dépeuplé, où seul le noir et le blanc se fondent en gris. Il y a des roses fanées, des ruines et surtout la mémoire qui taillade chaque instant. Le souvenir du paradis est mon enfer.
A chacun son enfer mais enfer quoi qu'il en soit.
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